Le véhicule de la famille, un Renault Captur, après l’impact avec le bus. Les 2 véhicules roulaient à faible allure et pourtant les dégâts sont impressionnants.

Voici l’histoire du mari de Gwendoline et de leur fils de 5 ans qui ont eu un accident avec un bus. Le petit était assis dans un siège Axkid ONE et n’a rien senti de l’accident. Gwendoline nous a livré son témoignage.

Le dimanche 22 août 2021, à Palaiseau, le mari et le fils de Gwendoline ont eu un accident avec un bus en rentrant de la piscine dans leur Renault Captur. En approchant d’un rond-point ou il n’y avait personne, son mari en a profité pour mettre la musique du petit qui venait de le lui demander.  Il entend alors un klaxon de bus, n’a pas le temps de freiner suffisamment et le bus vient heurter sa roue et arracher l’avant de la voiture. Il s’agissait d’un rond point avec une voie centrale ou les bus ont la priorité et le mari de Gwendoline n’a pas vu le feu. Heureusement, il n’y a pas eu de collision à grande vitesse puisque le bus roulait env. 50 km/h, et la voiture à env. 20 km/h.

Fort heureusement, le fils et le mari de Gwendoline en sont sortis indemnes. “Mon mari s’en est sorti avec des douleurs au dos et aux épaules. Notre fils n’a rien senti car il a demandé à son père après l’impact pourquoi on voyait le capot dans son miroir. Il a un vague souvenir de bruit de taule. Mon mari était plutôt sous le choc. Voir un bus arriver sur soi, ça remue. Mon fils, du fait du dos route, n’en sort aucune séquelle. Il a fait une séance chez l’ostéopathe qui n’a rien décelé comme traumatisme au contraire de mon mari. Il était juste triste pour la voiture.”

Le fils de Gwendoline (20kg et 110cm) voyage habituellement dans le Axkid Minikid mais cette fois-ci il était dans le Axkid One de sa sœur, car la famille avait prêté le Minikid a des amis. Gwendoline témoigne :  “Il n’y a pas photo que le dos route est clairement plus sécuritaire à tous les niveaux. Pour ma part, et dans cette configuration d’accident, ça évite à mon fils un traumatisme psychologique vis-à-vis de la voiture et des bus. Le fait que le siège englobe bien l’enfant et que la répartition du choc se fasse plus uniformément a fait que mon fils n’a pas de séquelle physique. Notre enfant n’a clairement rien senti. Pas paniqué non plus car il était protégé de la situation. C’est en sortant de la voiture et en voyant les dégâts qu’il a compris. En face route, il aurait surement eu des tensions dans le corps.”

La plupart des accidents arrivent sur les trajets courts du quotidien, et comme le dit Gwendoline : “Les accidents n’arrivent pas qu’aux autres. On peut être soi-même en tort comme dans notre cas. Le siège auto n’est pas une mode (phrase que l’on m’a sortie). Il s’agit d’un système de sécurité, tout comme le casque de moto. Les crash-tests sont unanimes. Le dos route est 5X plus sécuritaire. Consultez le site de l’association Sécurange. C’est une mine d’informations sur la sécurité de nos enfants en voiture. Elle a répertorié plusieurs siège-auto dont le One et le Minikid que je possède car leurs résultats aux crash-tests sont très bons et qu’ils ont le Plus Test suédois (le graal de la sécurité actuelle). Ces sièges permettent d’aller jusqu’à 25kg ou 120 cm en dos route. La réglementation actuelle n’est pas du tout à la page : au minimum jusqu’à 9kg dos à la route pour les sièges homologués ECE R44/03 ou 04, et au minimum 15 mois dos à la route pour les siège homologué i-size (R129). Regardez les vidéos de crash-tests. C’est effrayant.”

Et de conclure “J’entends souvent qu’un siège auto coûte cher. Ils existent de très bons sièges pour tous les porte-monnaie. La sécurité de nos enfants n’a pas de prix après tout.”

Nous remercions Gwendoline pour son témoignage et sommes soulagés que tout le monde soit en forme. Merci de nous avoir fait confiance pour la sécurité de vos enfants.