Qui sommes nous ?

Nous sommes l'entreprise suédoise Axkid  et nous nous sommes donné pour mission de garantir la sécurité de tous les enfants dans la circulation.

Nous sommes l’entreprise suédoise Axkid  et nous nous sommes donné pour mission de garantir la sécurité de tous les enfants dans la circulation.

Axkid a été fondé à Göteborg, en Suède, en 2009 par Tony Qvist et Tony Broberg, sur une culture profondément ancrée dans l’ingénierie suédoise, combinée à une grande passion pour le droit des enfants à la sécurité. Nous sommes une entreprise où compétence et engagement sont les deux côtés d’une même médaille. Notre désir de trouver de nouvelles façons de faire les choses et le courage de contester le statu quo nous a toujours différenciés.

Nous ne nous lassons jamais de diffuser notre message encore et encore : les enfants doivent rouler dos à la route en voiture le plus longtemps possible. C’est de loin la façon la plus sûre de voyager pour les enfants, il est prouvé que c’est jusqu’à 5 fois plus sûr pour les enfants. Cette connaissance sauve des vies. L’éducation de nos partenaires et de nos parents fait donc partie intégrante de notre philosophie d’entreprise.

Nos sièges bébé, nos sièges dos route et nos rehausseurs repensent la sécurité des enfants en voiture. Grâce à des fonctions uniques et des solutions techniques innovantes, nous cherchons à offrir le plus grand confort pour les adultes lors de l’installation et pour les enfants pendant la conduite car la offrir la meilleure sécurité à votre enfant doit être simple à mettre en œuvre.

Avec nos sièges dos à la route conçus pour un usage long, les enfants peuvent rouler dos à la route jusqu’à 7 ans. En cas d’accident, la zone sensible du cou est protégée au maximum, réduisant ainsi le risque de blessures graves. Plus longtemps dos à la route = plus longtemps en sécurité ! Tous les jours.

Nous sommes convaincus que des normes améliorées et une plus grande sensibilisation permettent de sauver des vies.

Nous n’acceptons jamais de compromis et ne lésinons jamais sur la sécurité

 

Le siège-auto dos à la route : une invention suédoise.

Le rear-facing est une expression anglophone qui désigne le fait de faire voyager les enfants dos à la route en voiture, c’est-à-dire dans le sens contraire de la marche. On parle aussi d’Extended Rear Facing (ERF), de reboarder ou dos route prolongé, lorsque l’on fait voyager les enfants dans cette position longtemps.

Chez Axkid, nous œuvrons pour proposer des sièges auto qui vont permettre de garder la position dos à la route le plus longtemps possible, idéalement jsuqu’à 6/7 ans.

C’est Bertil Aldman, professeur à l’université Chalmers de Göteborg, en Suède qui a inventé le premier siège-auto dos à la route dans les années 1960. Inspiré par les astronautes de la NASA qui étaient positionnés sur le dos lorsqu’ils étaient projetés dans l’espace, afin de mieux supporter les forces de poussée, il appliqua le même principe aux enfants en inversant le sens des sièges dans les automobiles.

Il présenta un premier prototype en 1963 et la Suède a ensuite rapidement généralisé l’usage de sièges dos à la route pour les enfants. Grâce à cela, le nombre d’enfants victimes d’accidents de la route en Suède a drastiquement baissé, et aujourd’hui la Suède est le leader mondial en matière de protection des enfants dans la circulation routière.

Pourquoi la position dos à la route est-elle la façon la plus sûre de voyager ?

Des études basées sur des accidents réels montrent que le risque de décès ou de blessures graves lors d’une collision frontale est multiplié par 5 pour les enfants qui voyagent face à la route, comparé aux enfants qui voyagent dos à la route.
Les enfants ne sont pas des adultes miniatures ; leur tête est très grande et lourde par rapport à leur corps. Les muscles et les ligaments de leur cou ne sont pas entièrement développés.

Un bébé de neuf mois a 25 % du poids de son corps dans sa tête. Comparativement, un adulte n’a que 6 % du poids de son corps dans sa tête.

Lors d’un choc frontal (80% des accidents de la route), le risque de blessures graves voire mortelles au niveau du cou est d’environ 40% si les enfants voyagent face à la route. En effet, dans cette position, le haut de son corps est projeté vers l’avant jusqu’à ce que la ceinture de sécurité le retienne, mais sa tête continue à avancer à la même vitesse que celle de la voiture avant l’accident. A 50km/h le cou subit une pression extrême, équivalente à un poids d’environ 300 kg, pouvant entrainer des blessures graves voir mortelles.

En comparaison, si l’enfant est installé dans le sens contraire de la marche, le risque de blessures graves n’est plus que de 8%. L’impact sur la tête, le cou et le dos est considérablement plus faible car la tête et le cou sont ralentis en même temps grâce au soutien du siège et les forces du choc sont réparties sur l’ensemble du corps. A 50km/h, dos à la route, le poids qui ira sur la nuque de l’enfant sera « seulement » de 50kg

C’est pour ces raisons que l’on s’accorde à dire que la position dos à la route en voiture est 5 fois plus sûre pour les enfants.

Et le confort des enfants dans tout ça ?

Parfois les parents s’inquiètent de voir leurs enfants avec les jambes fléchies et décident de les installer face à la route en pensant que cela sera plus confortable. En réalité, les jeunes enfants ont une tendance naturelle à fléchir les jambes. Qu’ils jouent, qu’ils soient assis dans leur poussette ou même lorsqu’ils sont installés face à la route, les enfants plient leurs jambes, les croisent, se penchent où mettent leurs jambes sur les côtés au lieu de les laisser pendre dans le vide. Dans un siège-auto adapté à son âge, son poids, sa taille et conçu pour voyager dos à la route longtemps, un enfant disposera en général de suffisamment d’espace pour avoir les jambes tendues pendant au moins deux ou trois ans, même s’il préfèrera les plier au quotidien.

Contrairement aux idées reçues, le champ de vision des enfants est également moins restreint dos à la route. Les sièges autos conçus pour voyager dos à la route longtemps sont du fait de leur conception, souvent plus haut que les sièges face à la route et offrent ainsi un large champ de vision à travers la lunette arrière. De nombreux parents sont agréablement surpris par les commentaires que leur font leurs enfants pendant le trajet, car ils ne pensaient pas qu’ils seraient en mesure de voir autant de choses en étant dos à la route !

Et qu’en est-il du mal des transports ?

Certaines personnes ont une prédisposition génétique au vertige. Lorsque nous voyageons en voiture, notre cerveau doit intégrer des informations contradictoires car nos yeux lui disent que nous nous déplaçons rapidement alors que notre corps ressent que nous sommes immobiles. Lorsque notre cerveau ne parvient pas à intégrer correctement ces informations, le mal des transports arrive, quelle que soit le sens dans lequel nous voyageons.

Les adultes peuvent parfois se sentir étourdis s’ils voyagent dos à la route, car leur cerveau est « programmé » pour comprendre que la sensation normale de déplacement est d’aller vers l’avant, c’est-à-dire d’être orienté dans le sens du déplacement. Dans le cas des enfants, c’est différent. Leur système vestibulaire n’est pas encore complètement formé et il n’a pas eu le temps d’enregistrer un schéma normal. Ainsi, pour le cerveau d’un enfant, voyager en étant orienté vers l’arrière est aussi « normal » que de voyager face à la route, surtout s’il a voyagé de cette façon depuis la naissance.

Et en France ?

Alors que les nouvelles générations de sièges auto (réglementation I-Size) généralisent l’installation dos à la route jusqu’à 15 mois minimum, en France, le passage face à la route se fait encore trop tôt et c’est surement la raison pour laquelle le nombre d’enfants victimes d’accidents de la route reste élevé comparé à nos voisins européens.

A ce jour, la position dos à la route est la position la plus sûre pour vos enfants, alors, choisissez le bon sens !

 

Zoom sur le Plus Test suédois

Il s’agit d’un crash-test de sièges-auto supplémentaire, que les fabricants choisissent de passer ou non, connu comme le plus exigeant d’Europe, pour 3 raisons :

1. Une vitesse de crash plus rapide.
2. Une distance de freinage très courte et donc un impact plus violent
3. Une mesure précise des forces exercées sur le cou.

On mesure la pression subie par le cou et les cervicales à l’aide de capteurs ultra précis positionnés sur le mannequin. Au-delà d’un certain seuil, la mention Plus test n’est pas attribuée.
Seule une vingtaine de sièges-autos actuellement sur le marché ont réussi ce test.